…Une journée à Montréal

Montréal, 2 heures de route. Lors d’un jour de congés, facile de faire un aller-retour pour aller voir des amis et jaser (papoter) un coup.
Petite balade au parc du Mont-Royal afin de prendre des photos de touriste, une poutine plus tard (à la Banquise bien sûr) et c’est reparti pour le chemin du retour.

R.

« Sauf une fois au chalet »

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Le titre de ce post est une expression utilisée au Québec depuis plusieurs années. Son origine est très glauque et morbide, du vrai humour noir de « français » comme on aime le dire à la clinique. Cela représente une sorte de dénégation sans réelle conviction… pour comprendre allez voir la vidéo. (la véritable expression devrait être « excepté une fois au chalet » d’ailleurs).

Les jours défilent et le compte à rebours passe sous la barre des dizaines de jours. Au travail, les patients sont avisés (prévenus) de mon départ imminent et de notre retour pour cet été. Mon assistante souhaite faire un party de départ (pas vraiment un départ vu que nous revenons), nous louons donc un chalet dans les Laurentides pour une fin de semaine. Une très bonne fin de semaine avec une dizaine de personnes pour fêter la fin du stage. Merci les Amis pour le déplacement ! Merci les Amis pour ces bons moments !

Une couple d’heure (deux heures) de sommeil plus tard, nous voilà partis pour manger dans une cabane à sucre. Repas à environ 20 dollars, repas à la bonne franquette : oreilles de criss, fèves au lard, omelette, pomme de terre sauté, pancake, le but est de tout manger en l’imbibant de sirop d’érable ! Et pour finir bien entendu, la fameuse tire d’érable.
Un dernier repas à la québécoise, une dernière bouchée pour essayer de garder ce goût du Québec durant ces quelques mois à 6000 kilomètres de là.

R.

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